Caractérisation et mise en œuvre des sols argileux destinés aux matériaux de construction cuits

Cas de la Province du Kasaï oriental en République démocratique du Congo
Première édition

Classiquement deux approches sont utilisées pour simuler les systèmes électroniques de puissance : – la première, dite à topologie fixe, assimile les semi-conducteurs à des impédances de faible ou forte valeur en fonction de leur état. Les équations... Lire la suite

Classiquement deux approches sont utilisées pour simuler les systèmes électroniques de puissance :
– la première, dite à topologie fixe, assimile les semi-conducteurs à des impédances de faible ou forte valeur en fonction de leur état. Les équations t

Classiquement deux approches sont utilisées pour simuler les systèmes électroniques de puissance :

– la première, dite à topologie fixe, assimile les semi-conducteurs à des impédances de faible ou forte valeur en fonction de leur état. Les équations topologiques du système restent ainsi inchangées. Cependant, malgré sa simplicité, cette approche pose de sérieux problèmes de compromis entre précision des résultats et stabilité des méthodes numériques d'intégration ;

– la deuxième, dite à topologie variable, assimile les semi-conducteurs à des connexions qui s'établissent ou disparaissent en fonction de l'état des semi-conducteurs. Il n'y a plus de problèmes de stabilité d'intégration ou de précision mais les équations topologiques du système sont dépendantes de l'état des interrupteurs. La détermination des conditions de transition (commutations) et la réécriture des équations posent problème.

Dans ce travail, nous proposons une nouvelle approche, dite à topologie pseudo-variable, qui combine les avantages des approches classiques sans en avoir les inconvénients :

– les semi-conducteurs sont traités en tant que dipôles, comme dans les méthodes à topologie fixe ;

– en fonction de leur état, ils sont assimilés à des sources (de tension ou de courant) de valeur nulle, ce qui leur donne une caractéristique idéale, comme dans les méthodes à topologie variable.

La principale difficulté de cette nouvelle approche réside dans les contraintes algébriques, variables en fonction du temps, que les sources représentant les semi-conducteurs introduisent sur les variables d'état du circuit. Pour cette raison elle n'a, à notre connaissance, jamais été proposée.

En adaptant au cas que nous traitons les techniques de partitionnement des coordonnées utilisées en mécanique de systèmes multicorps, nous montrons que ces contraintes peuvent être facilement prises en compte. Nous aboutissons ainsi à un algorithme de simulation à la fois très performant et bien adapté à la simulation des systèmes électromécaniques.


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Spécifications


Éditeur
Presses universitaires de Louvain
Partie du titre
Numéro 400
Partie du titre
Volume 400
Auteur
Jean Shimatu Mbuyi,
Collection
Thèses de l'École polytechnique de Louvain | n° 400.4
Langue
français
BISAC Subject Heading
TEC000000 TECHNOLOGY & ENGINEERING
Code publique Onix
06 Professionnel et académique
CLIL (Version 2013-2019 )
3069 TECHNIQUES ET SCIENCES APPLIQUEES
Date de première publication du titre
2004
Subject Scheme Identifier Code
Classification thématique Thema: Technologie, ingénierie et agriculture, procédés industriels
Type d'ouvrage
Thèse
Avec
Bibliographie

Livre broché


Date de publication
01 janvier 1989
ISBN-13
978-2-87463-473-4
Ampleur
Nombre de pages de contenu principal : 223
Code interne
84718
Format
16 x 24 x 1,3 cm
Poids
366 grammes
Prix
19,00 €
ONIX XML
Version 2.1, Version 3

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