Comme tout processus, la globalisation a des conséquences heureuses et malheureuses. Dans le débat sur la globalisation entamé par les scientifiques, les experts et les citoyens, il y a des regards positifs et négatifs. Cet ouvrage se veut... Lire la suite
Par-delà l'analyse des processus de globalisation, l'objectif est de définir les conditions d'un vrai développement, intégral et durable.
Durant des décennies, la croissance a été stimulée par le marché et la concurrence. De nombreux secteurs financés ou gérés par les pouvoirs publics, ont été privatisés. Des marchés débridés et des États aux pouvoirs diminués paraissaient la clé de la compétitivité mondiale des entreprises et des nations.
Mais les politiques développées par les États en connivence avec les instances de gouvernance européennes et mondiales ne sont pas les seules explications de l'ampleur de la globalisation. Les révolutions permanentes dans les technologies de l'information, de la communication et du transport y contribuent en favorisant la mobilité et la flexibilité des capitaux, des biens, des services et des personnes.
Comme tout processus, la globalisation a des conséquences heureuses et malheureuses. Fatalement, dans le débat sur la globalisation entamé par les scientifiques, les experts et les citoyens, il y a ceux qui centrent leur attention sur les aspects positifs et, par ailleurs, ceux qui mettent en exergue les aspects négatifs. L'objectivité des uns n'est pas nécessairement celle des autres.
Sans chercher à formuler des jugements de Salomon, on peut viser à maximiser les conséquences positives et à minimiser les négatives sur les plans financier, économique, politique, culturel ou social. C'est à la recherche de solutions et de propositions constructives qu'il s'agit de s'atteler.
Par-delà l'analyse des processus de globalisation, l'objectif est de définir les conditions d'un vrai développement, intégral et durable.
Durant des décennies, la croissance a été stimulée par le marché et la concurrence. De nombreux secteurs financés ou gérés par les pouvoirs publics, ont été privatisés. Des marchés débridés et des États aux pouvoirs diminués paraissaient la clé de la compétitivité mondiale des entreprises et des nations.
Mais les politiques développées par les États en connivence avec les instances de gouvernance européennes et mondiales ne sont pas les seules explications de l'ampleur de la globalisation. Les révolutions permanentes dans les technologies de l'information, de la communication et du transport y contribuent en favorisant la mobilité et la flexibilité des capitaux, des biens, des services et des personnes.
Comme tout processus, la globalisation a des conséquences heureuses et malheureuses. Fatalement, dans le débat sur la globalisation entamé par les scientifiques, les experts et les citoyens, il y a ceux qui centrent leur attention sur les aspects positifs et, par ailleurs, ceux qui mettent en exergue les aspects négatifs. L'objectivité des uns n'est pas nécessairement celle des autres.
Sans chercher à formuler des jugements de Salomon, on peut viser à maximiser les conséquences positives et à minimiser les négatives sur les plans financier, économique, politique, culturel ou social. C'est à la recherche de solutions et de propositions constructives qu'il s'agit de s'atteler.
Préface
Introduction
Première partie
La concurrence mise au service du développement mondial ?
Deuxième partie
Dysfonctionnements dans le développement
Troisième partie
Dialectique entre le global et le local
Quatrième partie
Divers champs de la mondialisation: économico-managérial, culturel et politique
Cinquième partie
L'éthique: une base pour des alternatives
Conclusion