Le traité du XVIIe siècle dont on établit l'édition dans ce volume s’intitule "L’Art de deschiffrer". Il jette un éclariage particulier sur un département des armées et des chancelleries resté de tout temps méconnu voire obscur par sa nature... Lire la suite
D'après les cryptologues, c’est une vraie aubaine de découvrir un traité de déchiffrement. Ce genre de document est très rare car d’une part le métier de chiffreur n’était pas sans danger – on risquait d’être accusé de magie ou de sorcellerie – et d’autre part on ne tenait pas à dévoiler les secrets d’un art rémunérateur.
Le traité dont on établit l’édition dans ce volume s’intitule L’Art de deschiffrer. L’écriture, de trois mains différentes, permet de le dater entre les années 1668 et 1714. Le texte contient des principes de décryptement utilisés au XVIIe siècle, et un traité de déchiffrement solide et remarquable à plus d’un égard. Il jette un éclariage instantané et particulier sur un département des armées et des chancelleries resté de tout temps méconnu voire obscur par sa nature même.
D'après les cryptologues, c’est une vraie aubaine de découvrir un traité de déchiffrement. Ce genre de document est très rare car d’une part le métier de chiffreur n’était pas sans danger – on risquait d’être accusé de magie ou de sorcellerie – et d’autre part on ne tenait pas à dévoiler les secrets d’un art rémunérateur.
Le traité dont on établit l’édition dans ce volume s’intitule L’Art de deschiffrer. L’écriture, de trois mains différentes, permet de le dater entre les années 1668 et 1714. Le texte contient des principes de décryptement utilisés au XVIIe siècle, et un traité de déchiffrement solide et remarquable à plus d’un égard. Il jette un éclariage instantané et particulier sur un département des armées et des chancelleries resté de tout temps méconnu voire obscur par sa nature même.