Le nom de Charles de Broqueville est indissociable de celui du roi Albert Ier et les 16 ans qu'il passa aux commandes de l'État sont une page importante de l’histoire de la Belgique. Cette biographie politique en 2 volumes est limitée aux années... Lire la suite
Le nom de Charles de Broqueville est indissociable de celui du roi Albert Ier et les seize ans qu'il passa aux commandes de l'État sont une page importante de l’histoire de la Belgique. Cette biographie politique, en deux volumes, est limitée aux années que Broqueville passa au pouvoir ou dans ses environs immédiats (1910-1940). Une première partie, intitulée l’avant-guerre, décrit son ascension tardive, mais foudroyante; période, pour lui, la plus brillante : celle des paris audacieux, des manoeuvres téméraires, ainsi que d’une succession rapide de victoires.
La seconde partie, la plus longue, concerne la guerre 1914-1918 ; ces quelques années, par la tension nerveuse et le poids des responsabilités, comptèrent autant, à ses yeux, que toutes les autres prises ensemble. La dernière partie, l’avant-guerre, de même importance que la première à laquelle elle fait pendant, raconte les désillusion de la paix, la retraite forcée, le drame de l’affaire Coppée, enfin la remontée vers le sommet. Peu d’hommes d’État belges pesèrent autant que Broqueville sur les destinées de leur pays ; on n’en connaît aucun dont les qualités unirent aussi harmonieusement, et d’une façon aussi originale, celles d’un gentilhomme d’ancien régime et d’un chef de gouvernement parlementaire.
Le nom de Charles de Broqueville est indissociable de celui du roi Albert Ier et les seize ans qu'il passa aux commandes de l'État sont une page importante de l’histoire de la Belgique. Cette biographie politique, en deux volumes, est limitée aux années que Broqueville passa au pouvoir ou dans ses environs immédiats (1910-1940). Une première partie, intitulée l’avant-guerre, décrit son ascension tardive, mais foudroyante; période, pour lui, la plus brillante : celle des paris audacieux, des manoeuvres téméraires, ainsi que d’une succession rapide de victoires.
La seconde partie, la plus longue, concerne la guerre 1914-1918 ; ces quelques années, par la tension nerveuse et le poids des responsabilités, comptèrent autant, à ses yeux, que toutes les autres prises ensemble. La dernière partie, l’avant-guerre, de même importance que la première à laquelle elle fait pendant, raconte les désillusion de la paix, la retraite forcée, le drame de l’affaire Coppée, enfin la remontée vers le sommet. Peu d’hommes d’État belges pesèrent autant que Broqueville sur les destinées de leur pays ; on n’en connaît aucun dont les qualités unirent aussi harmonieusement, et d’une façon aussi originale, celles d’un gentilhomme d’ancien régime et d’un chef de gouvernement parlementaire.