Le catholicisme social désigne dans cet ouvrage l'ensemble du courant soucieux d’améliorer le sort de la classe ouvrière tel qu’il se manifeste durant la seconde moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe... Lire la suite
Devant la question de savoir quelle solution donner au problème social tel qu'il s’est posé à l’époque contemporaine, la Belgique catholique s’est constamment trouvé divisée en deux camps. Les uns ont adopté une attitude conservatrice, tandis que les autres poussaient au progrès social.
Le catholicisme social désigne dans cet ouvrage l’ensemble du courant soucieux d’améliorer le sort de la classe ouvrière tel qu’il se manifeste durant la seconde moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle. Il englobe, avant 1850, les catholiques socialistes opposés aux défenseurs du régime social et économique existant ; entre 1850 et 1886, les paternalistes opposés aux manchestériens ; et après 1886, les démocrates chrétiens opposés aux conservateurs.
Cette étude s’appuie sur la littérature existante ainsi que sur des documents et des biographies des représentants du catholicisme social (Jules Malou, l’abbé Daens, Édouard Ducpétiaux, le duc d’Ursel). Pour avoir valeur explicative des événements, elle tient compte des forces économiques, idéologiques et morales qui ont influencé ce courant, en montrant les transformations qui s’opèrent dans les entrailles profondes de
la société.
Devant la question de savoir quelle solution donner au problème social tel qu'il s’est posé à l’époque contemporaine, la Belgique catholique s’est constamment trouvé divisée en deux camps. Les uns ont adopté une attitude conservatrice, tandis que les autres poussaient au progrès social.
Le catholicisme social désigne dans cet ouvrage l’ensemble du courant soucieux d’améliorer le sort de la classe ouvrière tel qu’il se manifeste durant la seconde moitié du XIXe siècle et la première moitié du XXe siècle. Il englobe, avant 1850, les catholiques socialistes opposés aux défenseurs du régime social et économique existant ; entre 1850 et 1886, les paternalistes opposés aux manchestériens ; et après 1886, les démocrates chrétiens opposés aux conservateurs.
Cette étude s’appuie sur la littérature existante ainsi que sur des documents et des biographies des représentants du catholicisme social (Jules Malou, l’abbé Daens, Édouard Ducpétiaux, le duc d’Ursel). Pour avoir valeur explicative des événements, elle tient compte des forces économiques, idéologiques et morales qui ont influencé ce courant, en montrant les transformations qui s’opèrent dans les entrailles profondes de
la société.
Acknowledgments i
Preface v
Chapter 1. The Mathematics of Complementarity 1
1. Introduction 1
2. Cardinal and ordinal complementarity 2
3. Cardinal versus ordinal complementarity 6
4. Monotone comparative statics on chains 8
5. Monotone comparative statics on finite products of chains 9
6. Monotone comparative statics on lattices 14
7. Applications to Cournot and Bertrand competition 18
Chapter 2. Fixed Points of Increasing Correspondences 21
1. Introduction 21
2. Background material on lattices 21
3. Increasing correspondences 22
4. Extremal fixpoints and their comparative statics 24
5. Order structure of the fixpoint set 28
Chapter 3. A Theory of Comparative Statics with General Complementarities 33
1. Introduction 33
2. Generalized modularity and generalized increasing differences 35
3. Quasilattices 40
4. Comparative statics of optimal solutions 47
Chapter 4. Games with General Complementarities 53
1. Introduction 53
2. The standard games with strategic complementarities and their properties 53
3. Games with general complementarities and their properties 55
4. Sufficient conditions on payoffs 56
5. Rationalizability 58
6. Application: A Diamond-type search model 60
7. Application: Oligopoly theory 62
References 67