En analysant les relations entre la Belgique et la République populaire de Chine entre 1954 et 1957, on se livre en fait à une évaluation du communisme, de son avenir et de sa cohabitation à long terme avec le capitalisme.
Cette courte période abonde en effet en événements politiques qui contribuent à faire de la Chine une grande puissance émergente, sinon encore sur le plan économique, du moins sur le plan politique. La jeune république assortit cette évolution d'une politique de propagande habile à l’égard des pays occidentaux, dont la Belgique. Tous ne sont pas pour autant atteints de ce qu’on a appelé la "sinophilie aiguë ". Cet ouvrage analyse les relations commerciales, diplomatiques et culturelles entre la Belgique et la Chine, en faisant un détour par l’essor du christianisme à la chinoise, malgré les brimades du pouvoir.
Éditorial 9
Karl-Leo Schwering
Contre-transfert et transfert
Winnicott, interprète du contre-transfert 13
Jean-Pierre Lehmann
Les trois théories du transfert 29
Solal Rabinovitch
Aux sources de l'interprétation... le contre-transfert 39
Simone Korff-Sausse
Vacillements de l'identité dans le contre-transfert 51
Karl-Leo Schwering
Lacan et le contre-transfert 69
Patrick Guyomard
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Anorexiques et boulimiques : que reste-t-il de leurs amours ? 75
Impasses de la relation à l’objet chez les patientes atteintes
de toubles du comportement alimentaire
Isabelle Maisin